Comment avez-vous découvert Terre d'Ange ?

Si si on est là, plus discret dernièrement mais on est là !!

Sois la bienvenue et si tu as des envies de discussions sur Jacqueline Carey ou d'autres sujets fantasy n'hésite pas

Je suis contente de m'être trompée, alors ! =)
Merci merci, je n'y manquerai pas =) ! J'ai déjà pas mal de sujets à parcourir ^_^.

Bonjour.

Elbakin. Visites très récemment. N'ai un ordi que depuis un petit mois.
Comment connaissais-je Elbakin?
Longue histoire. Je commence.
Ceusse qui s'en moquent peuvent passer le maousse et suivant paragraphe.

Or donc, un jour, quasi en une autre ère, ai eu un ordi nommé Yaka.
(Tu verras, l'informatique c'est simple, y a qu'à...)
En sa compagnie, j'explorai des terres inconnues où vivaient d'étranges peuples un rien fondus.
Yaka fut en un petit matin frais mourruriré en un épouvanteffroyable accident qui explosa incontinent
voiture nommée Vroum -car pour vroumvroumer croire m'en pouvez, elle vroumait plus que bien-
et conductrice qui ne comprit rien.
D'abord sous pour racheter tuture et temps pour rafistoler la créature.
Passées à l'as, alas.
Jadis connaissais Elbakin, les Rivages maudits et la Garde de Nuit.
Mazette, comme ils ont grandi ; ne point les reconnaître ai failli.

Bref, Elbakin mais il me semble que vous êtes, que nous sommes ( : émotion, c'est tout récent. J'en suis! J'en suis!)
référencés (genre liens ou sites amis) sur les rivages et la garde.
De fait, c'est par et pour Carey que j'ai atterri céans.

Espérer que tu restes parait très attrayant

Voilà je m'arrête là il est tard

Soyez les bienvenus, toi, ton nouveau Yaka et tes délires sympathiques

Effectivement il y a un fort lien d'amitié avec Elbakin.net mais ici c'est ... moins grand ?

Je tente une question bête : tu connais De Cape et de Crocs comme BD ? Nan parce que ça pourrait plaire à ton sens de la poésie

Bonjour, Sangoire.

Je connais effectivement De cape et de crocs, Garulfo, Lanfeust de Troy où Fantasy (au sens large) et humour poétique, parfois pouetique, se marient.
Tous chez Delcourt si mes souvenirs sont bons…
Impossible de vérifier sauf incursion sur la toile : je n’ai aucun album de ces séries chez moi.
Ceci n’est pas un indice de type subliminal.

Pourtant, Delcourt m’est toujours apparue comme une maison proposant des univers de qualité tant en termes de dessins que de scenarii.
Je fais ma puriste, histoire de faire oublier l’énorme faute de français commise en ces lieux de savoir éclairé.
Vu que j’ai jusqu’ici peu « posté », elle sera aisément repérée… par ceux qui s’essaieraient au jeu de piste… pour puriste.
Pas le fouet, ni le martinet, s’il vous plaît. J’expie déjà dans mon cabinet de pénitences : "La langue point ne malmènera, le respect du mode tu auras, la tournure adéquate tu écriras" et caetera…"

Ce qui n’est pas le cas d’une maison dont je ne donnerai pas le nom.
Née dans la mouvance de la sortie du Seigneur des anneaux et de l’engouement que l’adaption avait suscité pour tout ce qui touchait de près ou de loin à l’univers de la Fantasy.
Bref, en ce printemps où le soleil arde, que je voudrais une éclipse totale qui, peut-être, nous ferait réfléchir sur le message de l’Apocalypse, le crépuscule des mondes -comment nous le précipitons, comment nous le machinons.

Les témoins de Jéhovah viennent de sonner à ma porte, me gratifiant au passage d’un petit fascicule dont le titre devrait faire mourir de honte les âpres, farouches, quelque peu rugueux et parfois totalement « mûrs » défenseurs du Mur.
Bandeau-titre sur le dit fascicule : sur fond de rempart à la tour crénelée, le titre : « La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah ».

Ils craignaient la venue de l’hiver et avec lui des sauvageons et des Autres ; vlà Jéhovah qui débaroule...
Avec son épée à sept vitesses, toute de flammes enguirlandée, ses servants fidèles : les quatre Ser de l'Apocalypse, z'ont aucune chance sur le Mur malgré tous leurs Tours de Garde. Ouvrons les paris.

Au moment même où ils se cherchent une devise,
au moment même où un avenir radieux déroule sous leur pas de verts espaces de pétales parsemés
-la Joie n’est pas que dans le cœur de ces arsouilles : ma Zette ce qu’ils éclusent…-
au moment même où leur Messie revient parmi eux avec deux cadeaux dans sa hotte,
en ce moment-même, la colère divine risque de s’abattre sur nous tous because nous suivons de faux-dieux...
Idolâtres, que nous sommes.

C’était une fameuse digression. Je suis adepte de la parenthèse qui jamais ne se ferme, du point de suspension qui jamais ne repose.

Problème : où ce message a-t-il sa place ?
Autres œuvres de Fantasy : rubrique BD.
Délires post-traumatiques (z’étaient cravatés vraiment haut, j’en avais mal au Kushiel. (Kushiel ou le cœur des hommes…)) ?
Sais point. Refile le bébé aux modos qui voudront bien ne pas oublier que je suis déjà dans mon cabinet de pénitences...

D'une fan d'un merveilleux chant de glace et de feu à une autre, une malheureuse faute d'ortograf est un pêché véniel* au vu de ta prose dont notre sorcière à la couleur proche de celle des cerises bien mûres préférée a dit le plus grand bien.

*En pénitence, tu peux si cela t'agrée continuer à nous faire profiter de ta présence

Je prolonge le propos pour affirmer, péremptoire : "Moi, ça m'agrée, mon canard..."


Alors oui, certes, on pourra juger l'apostrophe un peu leste, mais c'est parce que l'homme d'expérience que je suis sait que le canard ne va guère avec le conflit (le navet, les oranges, les olives, les cerises, oui, mais pas le conflit). Ce qui est parfait pour que règne la concorde, la paix et l'esprit d'Elua...

Bref, de la joie !

Bon, c'était en coup de vent, car je vais être tête dans le guidon pour les dix jours infernaux à venir, manière de passer 89 chapitres denses à la peau de chamois. Mais je ne serai jamais loin...

Je ne suis jamais loin.